Peu importe qui venait à lui, étranger, membre de sa famille ou ami, il rencontrait chacun avec un sourire aimant, un mot gentil et une présence paisible. Si quelqu’un lui rendait visite dans un triste état, il le relevait avec joie. Si quelqu’un rencontrait un problème en traitant avec quelqu’un d’autre, il leur donnait un moyen positif et non violent de le résoudre. Si quelqu’un souffrait, il apaisait son cœur.

Au cours de sa vie, tous ceux qui l’ont rencontré se souviennent encore de cette rencontre comme étant remplie d’amour plus que tout ce qu’ils ont connu dans leur vie. Qu’il s’agisse de collègues, de voisins, de membres de la famille, d’amis ou d’étrangers, il les traitait tous comme s’il s’agissait des membres d’une même famille.

En tant que poète primé, sa poésie spirituelle a incité les lecteurs à inculquer la bonté de cœur dans leur vie. Ainsi, tous les peuples pourraient être unis dans les liens de soie de l’amour divin. Il a été capable de le faire grâce à une vie de méditation dans laquelle il a découvert que la Lumière qu’il avait trouvée en lui brillait également chez tous les autres, en fait, dans toutes les créations. Ce grand angle de vision dans lequel il reconnaissait Dieu au sein de chaque personne s’exprimait dans son amour pour tous, quels que soient leurs antécédents. Un de ses vers populaires est :

D’autres ont renié leurs parents et amis,
Mais j’ai fait mien même des étrangers.

Si nous prenons cet aspect de sa vie et l’intégrons dans la nôtre, nous constaterons que nos propres vies seront joyeuses et que nous irons dans le sens de la paix et de la gentillesse partout où nous irons.